Le RSST ne doit donc pas seulement être utilisé lorsque l’événement est passé, pour laisser une trace… Il doit aussi permettre d’agir en amont, car il oblige le CHSCT (comité hygiène et sécurité au travail) à se saisir de la situation pour proposer des solutions !
Les chefs de service, chefs d’établissements dans le second degré et IEN dans le premier degré sont informés des saisies.
Le RSST numérique est consulté régulièrement par les représentants du personnel en Chsct.
Ils peuvent remettre ainsi l’employeur devant son obligation d’assurer la santé et la sécurité au travail.